Weblife = GenY ?

Je viens de tomber sur un article passionnant d’un blog américain que je vous recommande “read write web” qui décrit la génération Y.

http://www.readwriteweb.com/archives/why_gen_y_is_going_to_change_the_web.php

En fait, ce sont nos weblifes. Voyez plutôt leurs caractéristiques :

  • ils sont nés dans le “digital”
  • ils se construisent en dehors de la télévision
  • ils sont insensibles à la pub, quand ils font un choix ils se réfèrent à leurs amis
  • le travail n’est pas un fin en soi et toutes les contraintes et pression doivent être justifiées (generation why?)
  • ils sont conscients des grands enjeux du monde l’avenir de la planète, les droits des individus, des animaux, etc.
  • ils ne croient plus à la vie privée, mais veulent avoir des moyens de contrôle dessus
  • se sont eux qui font (ou pas) le succès des site web 2.0

Bonne lecture. F.

2 Responses to “Weblife = GenY ?”

  1. Je retiens particulièrement deux choses:
    -They Don’t Care About Your Ad, They Care What Their Friends Think

    La première nous force à INVENTER notre forme de publicité (et donc de gagner des sous…), “qui n’en soit pas vraiment mais quand même un peu” (rien d’impossible, en son temps google l’a bien fait…)

    La seconde est un détail mais: Companies will have to keep up with Gen Y and not get too comfortable using any one format. (Oh, and you can stop calling everything “viral” – that’s lame.) Ce qui m’intéresse est bien sûr la parenthèse…

  2. @Sam (j’adore les bloggers font ça pour s’adresser à leurs commentateurs)

    1) Sur la publicité, ça permet de préciser le chaier des charges de la régie publicitaire : une plateforme de mise en contact entre un annonceur et un éditeur de parcours qui accepte de recommander une marque ou une autre.
    > L’argument serait les marques recommandés par vos éditeurs favoris. En plus il y aura des claims faciles à adapter : “Les chats recommanderaient Whiskas”

    2) Tout à fait d’accord sur la remarque pour la viralité.

    3) Il y a un point qui m’intéresse bcp, c’est la sensibilité aux causes. Il me semble que si l’on choisit de faire une marque disons “responsabilo-citoyenno-engagée”, il ne serait pas absurde de consacré 1-2% du pretax profit à une cause qui nous irait bien genre la “mise à disposiiton du savoir, la libre circulation des connaissances et des points de vus”. Ca donnerait un peu de hauteur à notre marque et à notre projet.

    To be continued

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